21 mars 2009
Aux Délices du Liban - Paris
Il est un peu triste, après deux visites, de n’avoir pas grand-chose à dire, sous peine de verser dans de dangereuses banalités sur les familles Gemayel et Aoun. On se dit, bizarrement, que c’est un peu froid et un peu cher, à croire que les jésuites...